Tout a deux côtés, et on ne peut jamais avoir l’un sans l’autre. Ils sont simultanés.
La nature n’a jamais éteint une espèce, ou un groupe d’espèces, sans donner naissance à une nouvelle espèce qui était moins nombreuse mais plus importante en organisation ou en conscience. Sans la mort de l’ancien, le nouveau ne peut pas apparaître.
La conscience sociale humaine est divisée en deux factions : les technologues qui veulent aller hardiment dans le futur et qui sont souvent aveuglés par le passé, et les écologistes qui veulent retenir les choses et garder les anciennes méthodes. Les deux s’équilibrent et sont des régulateurs essentiels sur la vitesse de l’évolution.
Les écologistes disent que c’est notre devoir moral de sauver les espèces végétales et animales de l’extinction, mais sauver d’autres formes de vie peut empêcher les humains de naître. Il y a une synchronicité dans le timing.Quand nous sommes en plein essor, nous assommons les espèces, et quand nous ralentissons, nous les sauvons.La conservation de la vie sur cette planète est équilibrée, c’est une loi de paléologie et de nature, et nous ne pouvons pas la briser.
Si nous essayons de ralentir la technologie et de revenir à la nature, nous stagnons et les plantes et les animaux augmentent.Si vous accélérez trop la technologie, les formes de vie inférieures meurent et perturbent le cycle dioxyde de carbone-oxygène, qui nous anéantit aussi.
La technologie et l’écologie ne sont que les deux côtés équilibrés de la conscience, et elles régulent la vitesse à laquelle nous évoluons. Ils ont tous les deux raison et ils sont tous les deux nécessaires.
John DeMartini, « L’expérience novatrice de transformation«
L’ordre derrière le chaos
